Jarhead

Jarhead, la fin de l'innocence...
Certes, je dois avouer que je n'ai pas choisi ce film par innocence, et même si mes motivations primaires n'étaient pas des plus culturelles (voir les fesses de Jake Gyllenhaal...), le sujet du film a eu vite fait de remmettre les pendules à l'heure.
Plus qu'un film sur la bêtise de la guerre, c'est avant tout un film sur les Marines, leur formation et les dégâts sur leur personnalité. La guerre du Golfe est plus un prétexte, une toile de fond, même si elle illustre à merveille à la fois le côté ennemi invisible et motivation économique de cette guerre.
Le résultat en est plus glaçant.
A travers le regard au départ naïf d'un jeune engagé, nous suivons sa "carrière" en tant que "sniper" dans un conflit qui s'enlise dans l'ennui et le non sens. Remontés à bloc, galvanisés par le mythe du marines, conditionnés pour être des machines à tuer, gavés d'imageries populaires et cinématographiques, ces jeunes soldats, prêts à être des héros, sont alors confrontés à quelque chose d'inattendu : l'ennui et l'attente. Pas de combats sanglants, pas l'ombre d'un ennemi, juste le sable et la chaleur.
Une première constatation: les Marines entraînés à outrance ne sont pas préparés à l'inaction. A tel point que le moindre évènement qui les sort de leur quotidien brûlant et sans saveur, les plonge dans l'hystérie (les journalistes qui viennent les voir) ou la paranoia (leur rencontre avec des autochtones).
Deuxième constatation : ne rien faire, ça laisse du temps pour réfléchir. Est-ce que cette perte de temps en vaut la peine? Notre "héros" perd sa petite amie, il pète les plombs, il voit ses amis péter les plombs et est le témoin de charniers injustifiés dont il n'est même pas l'auteur.
Troisième constatation : qu'est ce qu'on est quand on revient "en héros", alors qu'on n'a pour tout fait de guerre, rien? Un Marine frustré.
Et la frustration est bien au centre de ce film. Ca parait terrible à dire, mais ils n'ont tué personne et les morts de cette guerre, ils ne les rencontrent que rarement.
Ce n'est pas "Full Metal Jacket", ni "Voyage Au Bout de l'Enfer", ni même "Apocalypse Now", et pourtant les jeunes gars, même s'ils sont revenus entiers, sont tout autant perdus à leur retour.
Ils pensaient avoir tout compris en partant et reviennent avec le doute.
Et à part être un Marine, ils ne leur restent pas grand-chose pour se reconstruire.
Un film à voir pour comprendre que les combats sanglants et les tueries sauvages du Vietnam ne sont pas seuls en cause pour comprendre le malaise des soldats à leur retour.

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POUR OU CONTRE REVOIR UN FILM ?

Dans la série "je-suis-encore-plus-addict-que-vous-ne-le-pensiez!", encore un post sur BROKEBACK MOUNTAIN! (j'en vois un qui pleure, au fond...)
Je sais, ça fait beaucoup. Mais bon, voilà une semaine que j'ai vu le film, j'ai posté sur plein de forum ciné et me suis aperçue que j'étais pas toute seule à craquer sur ce film! (rassurez vous y'en a qui ont moins aimé!)
Et tous (les addicts), nous avons les mêmes symtomes : envie de revoir le film, penser au film, aller sur des forums qui en parlent, décortiquer et analyser chaque scène, en parler sur mon blog, interpréter certaines ambiguités, écouter la BO du film pour mieux se souvenir du film ("I don't want to say goodbye", "A love that will never grow old", "Maker makes"....), re avoir envie de voir le film...
Il me manque plus que d'acheter un beau chapeau de cow boy, une chemise à carreaux et l'indispensable : le lasso ( Ah ! cette scène avec le lasso...)! Et en route vers les montagnes...

J'ai donc décidé de retourner voir le film demain (je suis sûre que j'ai manqué quelque chose....), malgré la totale incompréhension de mon cher et tendre : "Mais tu l'as vu il y a une semaine!", nourrie d'inquiétude : "non, tu blagues, tu vas pas vraiment retourner le voir?"

Afin de mieux comprendre ce phénomène, je fais appel à vous! Pour ou contre revoir un film?
Le(s)quel(s) avez-vous revu plusieurs fois? Et pour mon chéri, pourquoi?

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HEATH LEDGER

Bon, c'est pour la parité...
Non, c'est pas vrai, Heath Ledger est vraiment super craquant aussi!!!








Faut vraiment aller voir BROKEBACK MOUNTAIN !
(Et moi, faut vraiment que j'ailler bosser, merde!)

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Désolée, j'ai pas pu résister....

Je crois que je vais retourner voir "Brokeback Mountain", ça me manque trop !!!!
J'espère quand même que je vais pas me mettre à écouter de la country!
Quoique.... J'ai bien aimé la BO du film!

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BROKEBACK MOUNTAIN

La plus belle histoire d'amour...




Des histoires d'amour, il y en a eu. Dans la vie, dans les romans, dans les films, dans les chansons. Toutes nous font rêver, malgré toutes les souffrances qu'elles génèrent.
On devrait se limiter à parler de "Brokeback Mountain" comme d'une sublime et magnifique histoire d'amour, racontant avec justesse et sobriété la puissance du désir et la brutalité de la passion. Ou comment l'amour arrive à arracher à une existence misérable et insipide des moments de bonheur intenses, pour lesquels on est prêt à tout risquer.









Mais il semble qu'il soit difficile d'occulter que cette histoire d'amour se passe entre deux jeunes cow boys. D'abord, parce que le film a souffert d'être retiré de l'affiche dans de nombreux cinémas américains, sous la pression de différents groupes religieux. Et ensuite, parce qu'il faut bien malheureusement constater que l'homosexualité est encore vécue dans nos sociétés comme au mieux une maladie, au pire une perversion, punie de mort.

L'intolérance est aussi au centre de cette histoire, parce que justement elle aborde cette relation dans un milieu et une imagerie populaire, farouchement virile et hétérosexuelle. (oui parce qu'il y en a encore qui croit que viril et hétérosexuel, ça va ensemble!). Le cinéma a tenté de faire évoluer à travers de nombreux films, notre perception de l'homosexualité. Mais, il estplus rarement sorti de son contexte habituel et raconté le quotidien dans des milieux moins glamours que le cinéma lui-même ou le show business en général. Même s'il semble qu'aujourd'hui dans les villes, les milieux bourgeois et intellectuels, l'homosexualité est mieux accepté (et encore, c'est pas gagné!), il reste des lieux où elle est rejetée, banie et même déniée.

Ang Lee (le réalisateur) livre ici une oeuvre touchante et sensible, qui se contente de montrer sans juger, ni revendiquer. Un film très humain, sur un rêve impossible, celui pour deux hommes de vivre ensemble. Les acteurs sont remarquables, les paysages époustouflants.
Tout au long de la vingtaine d'années qui suit leur parcours, de la naissance de leurs sentiments inattendus et violents à la fin de leur histoire, nous suivons leurs échappées à Brokeback Mountain, vaste contrée désertique et sublime, seul îlot susceptible de cacher leur amour aux yeux du monde. Quelques rayons de soleil dans une vie morne et factice.
Je vous laisse découvrir la fin, ça m'arrange, car rien que d'en parler, j'en ai encore les yeux qui brûlent.

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MORRISSEY's BACK !!!!

MOZ IS NOT DEAD !














Eh oui! Vous avez cru que c'était terminé, et ben non!
Nouvel album en mars, "Ringleaders of the tormentors" et il parait qu'il va mieux!
En tous cas, il aime la pizza et malgré le fait qu'il ait tout de même pris un peu de bide (je parle pas de musique), il reste toujours "This Charming Man"! (Allez-y, gueulez, je m'en fous!)
D'ailleurs, je réécoute pas mal les Smiths en ce moment (éh non, ça ne m'a passé!), "Heaven Knows I'm Miserable Now", "There Is A Light That Never goes Out", "Please, Please, Please..." et je ne me lasse toujours pas d'écouter sa voix plaintive mais ô combien ensorcelante...
Faut croire que je guérirais jamais...

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Jake Gyllenhaall, encore un beau gosse !

Je trouvais qu'il avait déjà une chouette petite gueule dans "The Day After Tomorrow" et "Donnie Darko"...
Ben, ça se confirme, il est vraiment très craquant !


A voir dès demain au ciné dans "Le secret de Brokeback Mountain", couronné hier aux Golden Globes 2005 en tant que meilleur film, meilleur réalisateur et meilleur scénario....
J'espère vous en parler très prochainement!

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Votez pour les Hushpuppies, Arcade Fire ou Babyshambles!!!

MAIS VOTEZ !!!!!



Et pour ceux qu'ont pas vu les Hushpuppies à Marseille, vous pouvez vous rattrapper les Parisiens, puisqu'ils sont en concert à la porte de la Vilette !
(Mais non, j'en sais rien où c'est , ni comment on y va les gars ! )

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EPITAFIOS

Nouvelle série sur canal jimmy, Epitafios met en scène les manipulations perverses d'un esprit dérangé, particulièrement sensible, au travers de meurtres esthétiquement travaillés et diaboliquement réfléchis.

Produite par la branche latino de HBO, cette série argentine s'accomode d'une idée certes pas révolutionnaire, mais qui rapelle avec justesse, que la qualité d'une série s'inscrit avant tout dans la manière de raconter une histoire.
Et au delà d'un bon scénario, Epitafios accroche l'oeil. Ambiance glauque à la "Seven", les protagonistes deviennent là-aussi les marionnettes d'un sinistre théâtre.
Les deux premiers épisodes nous ont exposé l'origine du mal (une prise d'otage qui a mal tourné cinq ans auparavant) et ses conséquences sur les principaux personnages. Mais la suite des évènements semblent plus terrible encore!
Espérons que le final de cette mini série de treize épisodes soit à la hauteur de nos peurs et interrogations!

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RIS Police Scientifique

Espérons que ce ne soit pas R.A.S. !!!!

La série CSI à la française est arrivée! Ca fout les jetons!
Alors c'est quoi le deal? TF1 s'aperçoit qu'il y a de l'audimat à se faire avec ce genre de séries, au vue des scores impressionnants des divers CSI. Alors pourquoi pas créer sa propre série.
Pour l'originalité, on repassera. Car ça ressemble à du "copier/coller": même format (TF1 se lance dans le 52 minutes), une équipe de la police scientifique avec deux affaires à résoudre, du vrai matériel prêté par la vrai police scientifique (et oui, on a notre police scientifique en France!), un beau labo tout en verre et des crimes, nous promet-on, bien tordus!
Alors c'est quoi la différence?
Avec un peu de chance, aucune et RIS égalerait ses confrères américains. A moins que les dialoguistes de "Julie Lescaut" ou "Navarro" travaille dans la même équipe! Parce qu'en voyant la bande annonce, j'ai un peu frémis en entendant les répliques pleines d'humour de certains personnages ("Qui veut de l'ADN?")...
Ceci dit, ils vont peut-être passer les épisodes dans l'ordre, vu qu'ils ont pas le choix!
Allez, ne soyons pas trop méchants et regardons ce premier épisode jeudi soir, en prime time !
Si seulement, ça pouvait commencer par le meurtre d'Etienne Mougeotte....

En attendant, ce soir, "CSI Manhattan" qui certes, s'ils n'arrivent pas à la cheville de "Las Vegas", sont meilleurs que "Miami"...

Mais c'est vrai que c'est pas difficile d'être moins mauvais acteur que David Caruso...

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INDOCHINE VS PLACEBO

Y parait que c'était un grand fantasme pour beaucoup de monde de voir Nicolas Sirkis et Brian Molko travailler ensemble. Je dois avouer que cela ne mettait même pas venu à l'idée.
Placebo, groupe pop rock et Indochine hybride des années 80 ! J'ai rien contre Indochine, mais c'est vrai qu'ils ont véhiculé une imagerie musicale plutôt décalée. Troublante aussi, mais pas dans le même style que Placebo.
Et puis, je suis tombée sur le dernier morceau d'Indo, "Alice et June", qui m'a fait bien tripper. Alors comme je ne voulais pas mourir idiote, j'ai carrément écouté le double album, pareillement intitulé.
Je dois dire que ce fut une surprise. Agréable. De très bons morceaux rock, même si j'ai encore beaucoup de mal avec la voix de Nicolas Sirkis.
Et puis, je me suis interrogée. Indochine, c'est donc un groupe de rock? Comment que ça se fait que j'avais pas remarqué avant?
Voilà un troublant mystère encore non élucidé. Mais bon, je ne vais quand même pas appeler Mulder pour si peu.
Il y a effectivement un duo avec Brian Molko, "Pink Water", sur le CD 1. Très joli morceau. Il est aussi présent sur le CD 2, caché après la dixième chanson, en version anglaise pour Nicolas Sirkis. On sent qu'il a envie de chanter en anglais, mais qu'il a un peu honte de se l'avouer. C'est vrai que son accent est très frenchie...
Bon, je ne connais pas les autres albums d'Indochine, mais celui-là, il vaut la peine d'être écouter.
Quant à savoir si c'est une astuce commerciale, le côté rock, l'analogie avec Placebo et le duo avec Brian Molko, on fait comme d'habitude?
On s'en fout.
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MAY

UNE ETRANGE POUPEE



Bon, l'exemple typique du film que je voulais aller voir à sa sortie et que j'ai raté, parce que je crois toujours qu'à Nice, les films restent longtemps à l'affiche!
Mais grâce au cable, j'ai enfin pu le visionner. Et je regrette encore plus de ne pas l'avoir vu à sa sortie.
Encore un film d'horreur me direz-vous, et en plus psychologique! On s'en sort pas.
Ce film, c'est un tout un poème. Esthétiquement magnifique. La vision d'un cauchemar à la Tim Burton.
May est une jeune femme qui s'est construite autour d'une indélicatesse de la nature (un strabisme) dont elle a fait son obsession. Et à cause de qui? Ben, sa maman enfin! Je vous ai dit que c'était psychologique comme film!
Bien sûr, elle essaie tout de même d'arranger ce petit défaut par le port de lunettes correctives, puis de lentilles, mais voilà, le mal a été fait et ne peut plus être réparé. Quand on apprit dès son enfance à voir la réalité de manière bancale, il est difficile d'en revenir.
Malgré tous ses efforts, May n'arrive pas à se connecter avec le monde des autres êtres vivants. Elle ne les comprend pas et ils la prennent pour une folle.
Et il ne reste alors plus qu'un chemin, celui dont elle a essayé de se dégager au début du film, le repli sur soi et vers sa folie.













Un film d'une grande tendresse malgré tout, on se sent pris d'affection pour May, malgré le fait qu'elle en vienne à zigouiller tout le monde (et même les beaux gars!)
et de peine, dans sa quête d'amour inatteignable.
A voir absolument!

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BONNE ANNEE 2006

Je ne vais pas couper aux traditionnels voeux de début d'année, alors que cette année vous apporte toutes les choses que vous désirez, et plus encore!
Voilà, c'est fait...
Quoi?
Quelles bonnes résolutions?
Pfff! Faut aussi que je donne mes bonnes résolutions?

Oui, mais euh, ça sert à rien, on les tiens jamais, alors j'en fais jamais!

Bon, d'accord, je vais faire un petit effort, puisque vous insistez.

Bon, voyons voir...
Bien sûr, continuer à poster sur ce blog, avec plein de photos de beaux gars. (Ici, Jeremy Sisto et James Duval). Tant qu'à faire... Je suis sûre que celle là, j'arriverais à la tenir sans trop de peine.

Trouver un meilleur boulot, réussir à tenir mon budget, faire plus souvent le ménage, arrêter de fumer, faire du sport, maigrir, ne plus me prendre la tête avec les cons.... ouias tout ça, c'est chiant, non ? Mettons plutôt, arrêter d'arrêter de fumer!

Bon, soyons plus positif, voire carrément délirant!
Continuer d'écrire, finir les deux romans amorcés, achever la trilogie du scénar du "Sang oublié" et en écrire d'autres... Temps estimé : au moins deux heures par jour!

Ecouter plus de musique, lire plus de livres et aller plus souvent au cinéma...ouais, ça le cinéma, à chaque fois, je rate tous pleins de bons films et ça m'énerve! Voir plus de concerts rock, genre prévoir même un festival, les transmusicales, rock en seine, ou pourquoi pas retourner à Reading ! Cool! J'adore cette résolution!

Ensuite? Hum... Devenir une pro de la guitare. Merde, ça va me prendre au moins 8 heures par jour pendant au moins dix ans! Comment faire? Ah oui! Démissionner de mon boulot pour avoir plus de temps! Ce serait une bonne résolution et donc devenir rentière...(Rajouter : gagner au loto!)

Bref, ça fait beaucoup, surtout que je voulais me remettre à travailler mon grec ancien, faire des versions de Socrate, apprendre l'Arménien, et aussi voir plus souvent mes amis!!!

Bon, je vais arrêter là, parce que va falloir que je demande une rallonge de 102 ans à qui de droit ( où est-ce que j'ai mis le numéro de teléphone de qui de droit?) et je suis pas sûre que ça marche.

Bon, je vous laisse, parce que là, j'ai du pain sur la planche, j'ai des démons à tuer dans Devil may cry et des zombies à anéantir sur Résident Evil!
Comment ça fait pas partie de mes résolutions? Et alors? J'ai quand même le droit de me détendre un peu, bande de tortionnaires!

ENTERPRISE : Saison 4

Les Xindis, c'est fini....Les nouveaux méchants, ce sont les Nazis!!! Ils ont picolé ou quoi? Quoique Nazis, Xindis, c'est un peu pareil! Je préfère quand même les Xindis!

Enfin, ce soir, première diffusion de la saison 4, dimanche rediff en VO! La dernière saison d'ENTERPRISE! Et oui! Sans doute trop révolutionnaire! A moins que ce ne soit à cause des massages de décontamination?
Bref, on ne sait pas encore si il y aura encore des nouvelles séries Star Trek, Gene doit se retourner dans sa tombe!
Comme dirait l'autre : "Ah ! les salauds! Ils l'ont faits !"

Enfin, au niveau Sci Fi, on peut encore se mettre sous la dent "New Battlestar Galactica" (voir le lien, pour ceux qui se rapellent pas de Apollo et de Starbuck!) et les "4400", mais c'est pas pareil!

A moins qu'un producteur audacieux ne prenne la décision de reprendre "Cosmos 1999"...


On peut toujours rêver.




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